Pourquoi faut-il que la seule personne capable de me mettre dans un tel état, soit en même temps la seule capable de remédier aux tourments qu’elle m’inspire.

Lire la suite

« T’as des yeux d’enfant Charlie, ils ont beau être que deux, y’a toute l’innocence du monde à l’intérieur. »

Lire la suite

Lire la suite

Sophia l'accueillie.
Elle aida Antoine à marcher jusqu'au salon, à quelques pas de la porte d'entrée.
Une cheminée encastrée dans le mur réchauffait l'endroit. Quelques lampes tamisées, de-ci de-là

Lire la suite

Dans les rues de Torun, le style gothique de la cité donnait à la marche d'Antoine un air de pénitence. La nuit faisait des ruelles étroites et des coins de bâtisses, d'intrigants endroits où, tapissaient l'obscurité, d'immondes formes mouvantes.

Lire la suite

Les yeux rivés sur la ville, Luca demeurait impassible.
Son regard n'était plus celui d'un homme ; rien de la joie ou de la colère ne semblait l'avoir un jour habité. Il regardait au loin le clocher de la ville, les pigeons sur les toits...

Lire la suite

Quelle horrible peine que d'être, sans pouvoir s'en satisfaire.

L'obscurité n'est qu'un leurre, au-delà de la nuit, par-dessus l'horizon, elle feint de nous aveugler, cette toile si propice à l'introspection. On y discerne plus clairement qu'en plein jour le tréfonds

Lire la suite

Ça faisait quelque temps déjà que je n'adressais plus la parole à personne. Je ne supportais plus les gens et ça commençait à se faire sentir dans ma façon d'exprimer mon ennui lorsqu'on me parlait, par ces petits gestes désinvoltes dans mon allure lorsqu'une connaissance s'approchait,

Lire la suite

Le moment approche et tu n'as plus envie d'être sûr de l'heure, le moment approche et le temps disparaît, il laisse derrière lui l'incertitude d'un rendez-vous sans horloge.

Les pas de tes pieds se rejoignent et tu manques de tomber, ta nervosité est palpable, t'as veste est à l'envers.

Lire la suite