DEREK ta question m'a inspirée ceci et pardon si je te blesse car telle n'est pas mon intention,si tel était le cas je retirerai immediatement ces quelques phrases.

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Sous un ciel gris menaçant les rares feuilles jaunies qui persistaient encore sont arrachées, inutiles, dans un tourbillon de poussière, tandis que dans un chuchotement  crescendo de bise

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L'automne s'en va
Par dessus les toits
Taquiner parfois
Les chiens qui aboient.

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J'ai vu briller l'illith, l'obscure
Et se pâmer les spectres, les chimères
Sous sa triste robe de bure
Hurle l'exangue bouche de ses frères.

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Elle a l'iris de tous les océans
Flux et reflux ont abîmés pourtant
Ses yeux qui laissent à travers les rideaux
L'aube dessiner deux cerneaux indigo.

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