fantomiald
Parfum des livres, 5 commentaires
En parfums féminins s'incarne infiniment,
Sous des feux formosas, des formes de félins,
Cet odorant papier lié de fil de lins,
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Pour Monalisa j'offre ces violettes, 3 commentaires
L'amour, ce sort teinté de bouquet sans nécroses
Violette n'a pas la sainte odeur des roses
Le parfum du désordre et l'essaim du trépas
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A la pauvreté, aux mystiques, aux spirituels, pas à la religion
Dans le repos du soir, un Homme apparaissait
A peu près chaque fois que le soleil laissait
Une sorte de plaie et palots sous la lune :
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Epigraphe pour mona lisa, 5 commentaires
La femme en tenue rouge C.Monet
Je veux un aliage épatant rare et fin ;
Les reflets apétants de ce bijou défunt
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Nouvelle poésie, 5 commentaires
Nous nous égarerons parmi les gens hagards
Car dans l'art de l'image émanent de magie
Nous amène déjà cette lame assagie
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L'horloge passagère, 3 commentaires
Enfin l'horloge a fait couler sa frêle fibre
Et de l'or en copeaux a feint de s'y loger
Dans la fraîche soirée une main d'equilibre
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pour G . . . . . -La Rose-, 1 commentaire
C'est par delà cette eau rosée
Qui coulait déjà sur sa tige
Que l'au delà, que la voltige,
De la fleur dans la rosée
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Le domestique italien et le vin d'italie (comique), 3 commentaires
"Enervé par le vin qui me navre et m'ennivre
je livre des mots vains ou je sens moins ivrogne
Que le vin fait levain quand l'homme fait la grogne
Et Je me sens devin ! Et ma langue se livre!
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Aimer comme un gui, 1 commentaire
Si je savais ton front un peu moins éclairé
Je garderais pour moi ce conte
Tu sais aussi que je te compte
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a l'usage de ceux qui aimaient rire, 2 commentaires
Que ma flamme a dissout des étoiles glissantes ! 1
Alme Venus, qui sous mes toiles salissantes,
Mon âme va rosir que s'éclaire aux décors :
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J'étais couché, rêvant
J'étais couché , rêvant, le corps sur le gris val
Quand fouëttaient les vents qui bordent la colline
"j'en ai loué souvent de vive crinoline:
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Jusqu'au fond du chemin, 1 commentaire
C'est au fond d'un chemin de vains grains et de vent,
De vains grains de galet de lourd cocon courbé,
Chacun tout gringalet ... l'horizon recourbé
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Quand je te regardais
L'astre jetait sa fine lame
Dans un jardin de doux crayons,
Comme s'amadouent les rayons !
Comme un parfum dans une flamme !
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cocaïne café
Un long couteau luit là...peut être un réverbère
Une cruche y crachait l'ombrage de son eau
Dans un pot de lilas , l'écaille d'un cerbère
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