Ses yeux d’onyx, ces terreurs fantastiques Ont sur lui l’éclat du diamant noir. Avec, il scrute de son air hiératique Le cimetière, le cadavre ...

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Je me saoule de l’oasis de ta chevelure,

Sans le moindre bord, ni aucun rivage.

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Flot de sang parfumé, pourpre comme l'iris,

Chante-nous ton arôme puissant et feutré.

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Je ne suis qu'un pauvre mendiant

Qui à maintenant vingt trois ans.

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