Je m'enfonce dans le monde, je le sens. Tout autour, les choses, les gens, les occurrences pèsent de plus en plus, m'enveloppent, m'asphyxient progressivement. Il n'y a plus moi (*) ; seulement celui qui attend, et qui subit douloureusement en attendant.
Style : Réflexion | Par Marcelle Eléonor | Voir tous ses textes
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