Ivre de tes mots doux
Ton sang coule à présent sur mon corps dénudé
Je git à tes côtés, à genou
Je ne pouvais me laisser frapper

Ta chair froide et ton corps inerte
Tu as causé ta perte
Tu as joué avec le feu
Tu t`es conssumer et pas qu`un peu

Ton regard vide et tes yeux vitreux
Je bois maintenant ton plasma encore chaud
Tu m`as pourtant l`air bien malheureux
Je glisse ma main sur ta peau

Ton teint pâle et ton air inconscient
Rien de mieux pour me souvenir de ton air arrogant
Je peux désormais ne plus souffrir
Je t`ai volée ce qui te restais , ton privilège de vivre