C’est alors que je m’aperçu que les arbres étaient en fleures, c’était le printemps et je ne l’avais pas vu s’installer. Je me levais autant que je pouvais traînant lourdement mes pieds grillés. C’est vers la foret que je me dirigeais, quelques gazouillis me parvenaient du fond de la masse verdâtre, d’où se dégageait, un brouillard presque opaque par cette matinée baignée de lumière méditerranéenne. La vision que je venais de vivre, laissait encore son effet sur moi .Le cercle,et l’attelage que j’avais vu, sont-ils le fruit d mon imagination. Je n’avais pas eu le temps de répondre à ma propre interrogation, que voilà je vois en face de moi dans une immense clairière où je venais de mettre les pieds, un grand verre a moitié rempli d’eau. Il y’avait quelques chose à l’intérieur. Un énorme poil de cheveu gisait au fond leste par une chaîne lourde et rouillée. Cela m’intrigua, le verre faisait quelques quatre mètres de hauteur, un filet d’argent, cernait tout son rebord extérieur .Mes yeux ne croyaient pas non plus à cette scène que je voyais ancrée à jamais dans ma mémoire d’homme alourdie par des années d’images fades et insipides.

   A SUIVRE..............................................................D.T