Je te dédie ces quelques mots
Toi l'homme sans chapeau
Qui junglent mes nuits de rêves dorés
De nature déchaînée où la mer
Lie entre eux les rescapés de l'amour
Ces femmes qui attendent leurs marins
En tissant des voiles légères comme des plumes
Ces hommes qui pleurent leurs adorées
Au coin d'un comptoir délabré
Je pense à toi car je n'oublie pas
Mon cœur ne s'est pas brisé ce jour là
Il est seulement un peu plus grand
Il s'est ouvert sur l'océan de mes regrets
Mais aussi de promesses tenues, d'un amour solide
De rames et d'une chaloupe qui flottent gaiement
Laissant seulement derrière elle, un sillage de pensées
Aux odeurs de varech et puis d'actes manqués.
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Style : Poème | Par ciloum | Voir tous ses textes | Visite : 602
Coup de cœur : 12 / Technique : 9
Commentaires :
pseudo : obsidienne
voilà un acte réussi (à mon sens), plus que ne le dit ma pirouette
pseudo : PHIL
UNE BIEN JOLIE LECTURE. COMME JE LIS TOUS LES ECRITS PAR ORDRE DE PARUTION .LE TIENS ME REJOUIS PARTICULIEREMENT.MERITE UN COUP DE COEUR.AMITIES
pseudo : ciloum
oui,...merci je ne suis pas super contente de ce texte pas assez travaillé, fatigue quand tu nous tiens... amitié
pseudo : scribio
Ton poème n'est pa manqué du tout Ciloum, je le trouve trés beau et triste. Bravo. Amicalement
pseudo : ifrit
Quel bien triste poème ciloum ! Pourtant, j'aime ce parfum de mélancolie et de nostalgie porté par le vent. les houles de regret ne doivent pas emporter l'amour et l'espoir, tout de sable qu'ils soient. Si je suis le mieux placé pour le dire, c'est parce que je suis le moins bien placé pour l'écrire.
pseudo : ciloum
eh oui c'est triste, pour redevenir heureux le lendemain