Caramboles par ciloum
Caramboles
Sur la table comme une nature morte
Gisent cinq fruits que personne ne croque.
Passent les hommes et des rongeurs
Aucun ne s'attarde sur leurs odeurs.
Carambole étoilée, grenade
Mangue, kiwi et fruit de la passion.
Figés dans le si joli panier d'osier.
Il y a si longtemps que nul ne les a touchés.
Pourquoi reste-tu immobile et à l'ombre ?
N'as-tu pas envie d'une caresse du soleil,
De la fraîcheur d'un fruit cueilli,
De la brise, de la pluie, et du chant de l'oubli ?
Monte sur mon dos et regarde autour de toi
Tu verras ces merveilles que les artistes démontrent
Tu verras la lune et les étoiles briller
Filantes tu feras un vœu, celui du bonheur retrouvé."Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite"
Style : Poème | Par ciloum | Voir tous ses textes | Visite : 698
Coup de cœur : 13 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : deborah58
Un trés beau poème aux saveurs fruitées. Bravo Ciloum ! Amitiés
pseudo : PHIL
TRES JOLI CE POEME. TU NE VIENS PLUS SOUVENT SUR MYTEXTE . MAIS A CHAQUE FOIS POUR UNE PETITE MERVEILLE. PAR CONTRE NOTRE AMI C EST PLANTE DANS LA PAGE D ACCUEIL.AMITI2S DAME CILOUM
pseudo : asicq
étrange ambiance ou plutôt troublante ambiance; des saveurs authentiques très agréables à lire.
pseudo : obsidienne
La nature est belle dans ton poème, morte ou vivante. Merci
pseudo : VIVAL33
Goûter à la vie, encore et encore! Merci ciloum (et des gros bisous!)
pseudo : scribio
Une trés belle scène, une invitation à la joie de vivre. Bravo Cilum
pseudo : BAMBE
Une compote à l'odeur des couleurs, un moment étoilé sur la trame de tes vers. Bravo
pseudo : ciloum
merci à tous ceux que je connais...,Vival je t'envoie mon amitié de saveurs fruitées, Phil, tu fais un mail à mytexte? ...Et à ceux que je connais moins. peu de temps pour mytexte mais toujours avec le plaisir d'écrire et de vous lire.
pseudo : ciloum
MYTEXTE MERCI DE REINTEGRER LES TROIS PREMIERES LIGNES DE MON POEME CONFONDUES AVEC CELLES DE CELUI QUI LE PRECEDE (POEME DE PHIL)
