Comme une rose sur l’eau,

Chavirant au gré des flots,

Une âme pervertie

Dans le silence se repenti.

Blessée par ses proches ses amis,

Elle efface tout le positif de sa vie,

S’abandonne dans la noirceur,

Oubliant la douce candeur

Qui illumine notre terre.

N’ayant ni père ni mère,

Pour se réfugier, pleurer

C’est dans ses poèmes, qu’elle écrit ses pensées.

Dans ses poèmes, elle écrit son cœur

Dévoile moindres de ses peurs.

Mais peu à peu, son passé resurgit.

Le même passé qui auparavant l’avait meurtri,

Et elle pleure, retrouvant la partie noire

De sa triste âme privée d’espoir.

A qui parler de ses problèmes qui hantent sa vie,

Ses problèmes indévoilable qui feraient frémir le meilleur des amis.

Oubliant toute forme d’espoir,

S’abandonnant au désespoir,

Elle est là, debout l’arme au point,

Réalisant que jamais il n’y aura de lendemain.

Elle a entre ses mains le dernier objet qu’elle eut touché,

L’objet qui l’eut tué, l’objet de ses regrets

Peu à peu, le sang se repend

Elle abandonne sa triste vie lâchement,

N’ayant jamais pardonné

Ses proches, ses amis qui l’aimaient.