Larmes invisibles
Quand on connait quelqu'un
Et on sent qu'il n'est pas le mien
On pleure discrètement de perdre ce bien
En félicitant celui qui le tient
On oublie cet être au fil du temps
Mais il reste quelque chose au fond
Cœur fait la nostalgie, se rappelle le commencement
Il faut comprendre que c'est la vie
Celle-ci dont tu ne peux plus donner avis
Elle fait ce qu'elle veut, elle est ravie
Fière, cherche à nous tuer avec envie
Je te déteste, revêche vie, et je t'aime
J'ai raison, l'amour marche avec la haine
O ! Sévère vie, ou tu nous mènes ?
Ou tu mènes ces pauvres, qui sont indigènes
Du pays de misère et de boue
Des misérables, mais doux
Des êtres différents que vous
Vous, qui possédez du sang en caillot
(Difficulté) par : TEKIK MOHAMED
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Style : Poème | Par baudelaire87 | Voir tous ses textes | Visite : 668
Coup de cœur : 11 / Technique : 10
Commentaires :
pseudo : deborah58
Un joli poème... Il est vrai que l'on dit que l'amour est proche de la haine... mais j'avoue ne pas être d'accord avec cette analyse. L'amour et la haine sont deux choses différentes dont les antagonismes sont tellement ancrés en nous que lorsqu'ils deviennent similitudes, notre coeur connait l'ultime souffrance. Amitiés
pseudo : PHIL
JOLI POEME MAIS UN ARRIERE GOUT DE DEJA LU.COMME DISAIT UN HUMORISTE DISPARU TROP TOT"choisi ton camp camarade".A+
pseudo : scribio
Un joli poème, mais bien pessimiste je trouve, la haine ne sert à rien, elle ne peut qu'aigrir nos coeurs. A +
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