Entre transparences et possessions
Ô, Bonheur, qui dans la mort s'est fait tant attendre
Méphistophélès n'a pas pu le conserver,
Cet amour flamboyant qui n'eût été de cendres
Et pour lequel enfin, deux cœurs ont pu se lier.
Ô, Harmonie entrant dans ma vie ravivée
Tu m'est très inconnue : livre-moi tes secrets
Pour que nos deux âmes n'en fassent que l'union
Et qu'on ne rencontre plus aucune affliction.
Ma chaleur véhémente veille à ses côtés
Nos regards s'entrecroisent, chacun voit le zèle
Brûlant amant dans nos mânes oblitérés.
Nul ne pouvait dissimuler de tels abscons
Si grande était notre perception de ce ciel
Et tout entre transparences et possessions.
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Style : Poème | Par Raphaël | Voir tous ses textes | Visite : 612
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