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La malédiction d'Andy par samuelrivabella

La malédiction d'Andy

La malédiction d'Andy.
(Le médecin généraliste) : - votre enfant survivra. Il faudra certainement beaucoup de temps avant que ces blessures ne ce panses et particulièrement, avant que ces pensées ne se rétablissent de ces hématomes. Il a incontestablement reçus un choque émotionnel grave et susceptible d'entravé ces relations avec ces camarades de classes. 3 côtes cassées et le crâne fracturé par des coups non identifiable. Mais enfin madame, que sais t-il passé pour que votre enfants sois autant rué de coup et traumatisé ainsi ? Il me faut une explication madame, je ne peux fermer les yeux sur des choses aussi graves. Si vous ne le faites...
(Andy) : << chuchotement >> - la mort... la mort est à nos trousse, bientôt il nous livrera tous ces secret et il nous emportera avec lui dans les tombes de l'Hadès. Sa ne sert à rien de fuir, VOUS ETES DÉJÀ MORT !!! Nous sommes que des pantins entre ces mains. Vous êtes déjà inscris dans le livre des défunts passés de l'autres rives, et elle réclame son droit de jugement sur votre pitoyable et misérable petite vie mortel. La fuite n'augmentera que sa colère et, l'atrocité de ces coups ne sera que plus atroce.
(Le médecin généraliste) : - mais bon sang madame dites moi ce qu'il sait passer, pour que je puisse inscrire dans mon registre toutes les causes probables des perturbations cervicales que votre enfants endure ! Vous l'avez bien entendu, il perd in-considérablement la raison, il faut me donné toute les indications pour que je puisse au mieux le soigner.
« Après de longue lutte acharné, la salle de consultation devint froide comme la brume d'un matin d'hiver qui se pali au bout de nos petit doigt qui frémissent de froid, dans ce firmament nébuleux et timides de clarté. La salle entra dans un silence, et la peur était au rendez-vous. L'inquiétude ce lissait sur leurs visages, enlacé de stupéfactions, et la peur encerclaient le moindre de leurs mouvement. Ils étaient pétrifiés, immobilisé de cet émois qui ce produisait dans cette pièce, cerné d'un fléau qui allait sans aucun doute s'abattre dans cette salle rembruni par cette agitation humaine. Dans un moment pareil, la solidarité était une qualité à manifesté au plus haut degré. »
(Hélène) : - l'heure est la découverte de votre destin, mais serrez-vous seulement prêt à accepté l'hécatombe de la population humaines, instables dans leurs plans morales. Serrez-vous indéniablement prêt à défier la mort elle-même, à déjouer ces pièges assurés d'une fatalité barbacane. Ne le prenez pas mal, mais il vous faudra vous faire une raison, votre mort dépendra inéluctablement du niveau d'opposition que vous userez avec acharnement, face à ce justicier qui ce proie sur vos âmes passagères, dans un monde déjà condamné à la réluctance.
(Le médecin généraliste) : mais que se passe t-il ? Je n'y comprends rien ? [...] et qui est t-il ?
(Andy) : - il est votre pire cauchemar, la mort elle-même ne veut pas d'elle.
« Soudain, une ombre austère se dessine dans cette pièce étouffé par la propagation de frimas et, le fracas de ces pats enivres toutes pensées sensées, car elle rend folle ceux qui l'écoutes. La décence de son allure enterre les gigues de leurs peurs qui se battent à toutes allures, et le regard perçant de ces yeux enivrent tous raisonnements frustes. Maladif son leurs pensée face à la rédemption de la mort, et face à la discrimination de la vie, la peur s'abandonne dans une aire enténébré et ajusté d'un milieu abscons, qui est dû au évènement présent.
Tous résonnement futiles sont à laisser à l'abandon, et les cris d'affolements doivent rester concis, car la préservation de la vie, et la survie d'une espèce (qui est en pleine voie d'extinction) en dépend. »
(La mort) : - la mort, vous me la devez. N'essayez pas de la fuir, car votre désintéressement du destin ne pourra être nullement échappé. La souffrance n'est que le passage vers la décadence de votre châtiment, inévitable et indiscutable. Ne me faite pas languir, car ma patience arrivera bientôt à son terme, et la puissance de mes heurtements singulières ne serons que des plus vils.
(Hélène) : - mais cette heure n'est pas encore venue, et tant qu'il restera une flamme de vie en moi, je l'utiliserai en opposition de tes jugement insalubre, ainsi que tes actes hargneuses et funeste. Je ne te laisserai pas ce plaisir de te voire jubiler face à la réclusion de ces corps sans âmes, des âmes qui sont déjà perdues par l'émasculation abusé de ta présence mortifères. Tu n'as droit à rien, car nous sommes les seuls maîtres de notre destin, et toi, tu n'es qu'une présence insignifiante, dont la place sur terre est non admît. Retourne dans le tartare d'où tu viens, laisse cette planète respirer par la félicité et la joie de construire une vie paisible et harmonieuse.
(Le médecin généraliste) : oui, retourner d'où vous venez, et oublier cette terre paradisiaque. Laisser nous tranquille, ou j'appelle la police.
« Et soudain, d'un coup vive et empresser, l'homme se tût par la profondeur de la colère qui venait au tintement de ces oreilles. Affaler à terre par ces cris, méthodiquement horribles, l'homme s'empressa de se relevé de sa peur, pour s'enfuir vers un coin plus enclin au silence.
Mais la mort se nourris de cette peur, et l'agitation empresser de désespoir de cet homme, ne rend que l'appétence plus savoureuse.
Mais Hélène en profita pour s'éclipser en douce, trainant avec elle Andy, et laissant indéniablement la mort s'épanouir du châtiment réserver aux hommes qui blasphèment l'hiérarchie de sa puissance, et son droit d'autorité sur leurs âmes médiocres. En un instant, la chair de cet homme fondis comme un glaçon, embraser par le souffre du feu. Et ces os... ces os se dépouillaient de cette enveloppe charnelle, comme la sève qui s'écoule le long de ces écailles, semblable à un arbre blessé, et desséché. »
(Andy) : n'ai pas peur maman, n'ai pas peur.
(Hélène) : il y a déjà bien longtemps que je n'ai plus peur, de puis ce moment ou [...] mais le passer, c'est le passer et aujourd'hui, c'est le moment venus ou doit s'accomplir la prophétie.
(Andy) : tu veux dire...
(Hélène) : oui mon fils, c'est le jour ou la mort répandra le sang d'une âme pur, dans les tombes de l'enfer, pour que se puisse s'accomplir la prophétie, " et, en ce jour là, ils seront lavé de leurs péchés ". Et cette âme, c'est toi. Je savais que ce jour viendrais, je pensais pouvoir te protégé, en tout cas, je me bernais d'illutions, car tu étais déjà marqué au fer rouge. Oui, les marque qui sont imprégner sur ta peau, ne sont pas des taches de naissances, mes c'est bien le sceau du diable, celle de la mort en personne. Je ne voulais pas t'inquiété, je ne voulais pas t'affoler mon ange.
(Andy) : ne t'inquiète pas maman, je le savais depuis longtemps. Je la sentais au plus profond de mon âme damné de cette souffrance qui alourdissait mon cœur et mes reins.
« Hélène commença à pleurer tout les larmes de son corps, des larmes de sang et de peines. Ces veines étaient remplies de rage et de colère. Ces yeux exprimaient son ressentiment d'un passer de tourment face à ce courroux qui expriment son appétence d'une prophétie qui allait sans aucun doute s'accomplir. La haine enivrait ces idées lucides, et sa peine ne faisait que l'agrandir. Quand soudain, la chair d'Andy se mit à consumer comme la lumière éclatante du soleil. La lueur rendait aveugle ceux qui la regardaient. Hélène regarda son fils sourire face à la mort, et Andy s'envola dans l'atmosphère. Et les yeux d'Hélène regardait les profondeurs des enfers jusqu'à la fin de sa mort pour y rejoindre Andy »

 

 

 


 

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Coup de cœur : 18 / Technique : 15

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