Un regard chaleureux, l’esprit d’un malheureux,

Tant de regard sur toi la reine de mon trépas !

Attendu quelques heures, et retenu de ce pleur,

Je ne suis rien sauf peut être un fervent admirateur.

Comme un couché de soleil où mon âme s’émerveille ;

Tes cheveux colorés, aux allures de l’été.

Tes yeux dans lesquels on aime à se plonger,

Et ton sourire où je perds, toute trace de sincérité.

Non je ne puis continuer sur cette artistique lancée.

Cet art, pourtant sacré, ne peut rivaliser.

L’art est divertissement, vous vous m’êtes passion !

Et quand vous arrivez sur ce vent de gaîté,

Cette chaleur humaine, chez moi vous amenez.

Oh jolie petite fille, ma grandeur, ma saison.