Epilogue

Couché sur une multitude de brins d’herbes

Le corps malmené d’un jeune poète inerte

Aux vaillants membres sculptés de rubescents gouffres

Forgés par son inégalable lame, il n’en souffre

Cet amour qui a étouffé sa douce muse

Dans son frêle cœur, sa fine plume s’excuse

Sous le poids de l’acier d’airain, FightWriter meurt

Posément, il rejoindra les défunts sans pleurs

Une navrante âme succombe indolemment

Occurrences dans un théâtre de tourment

Les ombres de la passion se pâment, Lysa

Et par la douleur du martyr, il a vécu

D’impétueuses félicitées qu’il exulta

Vaincues ; un funeste obscur éternel accru

FightWriter