mes mains sont glacées
regarde comme on est seul
les heures sombres se déchainent
et réveille une douleur cachée
comme la cloche sonne
il sera bientôt l'heure
Espoir de couper les ponts
ou les années
ces mois-ci lacérés
Envie de couper les veines
ou les claviers
ces fausses réalités
un décor champêtre
un souvenir lointain
une porte, une fenêtre
la cabane est tombée
telle l'eau dans l'entonnoir
du tourbillon de ma vie...
reprend ma liberté
sans dire au revoir
à tous ceux qui m'ont desservie...
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Style : Poème | Par néna | Voir tous ses textes | Visite : 459
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