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LE RETOUR.... par La Hyène

LE RETOUR....

Next Central…Je crois bien qu’il y à des années où pas un seul rayon de soleil c’est fait ressentir dans cette immense ville. Les gens y sont pales et aigris, une légère brise glacée souffle sans interruption balayant et faisant voler les détritus comme dans une danse enflammée…

Le froid vous gèle la peau et la glace vos os, question d’habitude….

Par-dessus le vacarme du vent des hurlements incessant résonnes dans la cité, meurtre…viol…racket…putes et autres plaisirs de Next Central se font ressentir à chaque coin de rues, chaque avenues et chaque boulevards.

Des lois me direz-vous… ?

Il n’y en a plus depuis longtemps. Juste une règle aux yeux de tous ici, la survie…

Un paradis pour malfrats, démons et autres créatures obscures, comme une grande réserve où ont auraient placés la vermine qui ne peut évoluée correctement dans une société digne de se nom.

Ici pas de coneries du genre serment et fidélité au drapeau….

Vous pouvez tentez de demandez en passant par la pute de bas étage au gros bonnet  si il a fois en dieu ou en son arme…Vous pouvez je di, mais ne le faite pas car je donne mon âme au Diable si vous ne vous retrouvez pas couper en morceau et laisser sur un bout de trottoir comme une vilaine viande pourrie…

Ici personne ne se souci de votre misérable semblant de vie. Les corps des victimes sont abandonnés laissant la nature quand se ne sont pas les cannibales finir le travail.

 

 

Alors me voici de retour dans cette ville après de nombreuses années de voyage et sans être étonné que nul changement ne soit passé par là je retourne dans un bar où j’étais peut etre de loin l’un des plus fidèles clients….

 

Assis seul dans le box de se bar a filles je tiens ma tête d’une main et lutte pour ne pas m’endormir sous l’effet de la belle bouteille de jack Daniels renversée sur ma table.

Les discutions, rires et jouissements provenant de l’étage viennent à mes oreilles, quand tout à coup un claquement métallique retenti dans l’établissement et me sort de mon semi coma comme une grosse gifle travers la tronche…Vous savez se genre de claque qui vous donne l’impression de se faire arraché e cerveau par les yeux…

D’une rapidité hors du commun je m’empresse de porter mes mains sur les crosses de mes deux bébé appeler plus communément Desert eagle.

Je balaye la salle d’un regard vif et comprend en voyant une femme à moitié nue baigner dans son sang que se n’était pas à ma vie qu’on en voulait sur ce coup là…

 

Son assassin se tiens droit devant elle, l’arme toujours à la main, le canon encore fumant et rougeâtre de la chaleur du tire…L’homme se met à rire sadiquement en voyant le trou énorme en plein dans se qui devait être une voluptueuse poitrine.

Il place la semelle de sa grosse boots en cuir sur la tête de la malheureuse et la pousse afin qu’elle ne soit pas dans ses pieds pour continuer avec ses amis à boire tranquillement au comptoir.

Mes yeux se fixe sur cette pauvre fille, ses cheveux recouvre la moitié de son visage, un filé de sang coule de sa bouche entre ouverte et viens s’écraser en goutte à goutte sur le planché pourris du bar.

Elle n’avait pourtant pas l’air dangereuse pour le mètre quatre vingt de son bourreau…Peut être lui avait elle refusé l’un de ses fantasme pervers, ou peut-être est-ce un meurtre de plus gratuit….Car il en faut peut ici pour se voir retiré la vie.

Je décide alors âpres de longues minutes d’observation dans mon coin de lever mon cul pour approcher de l’homme et de ses deux amis.

D’un pas sur, les mains dans les poches caressant la goupille de ma dernière grenade bien enfouie dans le tissu. Je viens me placer à leurs coter jetant un regard furtif sur la prostituée qui se trouve désormais à mes pieds.

Le Barman me regarde, il a des cheveux gras et une peau abimé par l’acné, je me demande pourquoi lui-même n’a pas bougé alors qu’une de ses filles c’est faite déglinguée devant ses yeux.

D’une voix calme et posé je lui demande de me servir l’un de ses shooter enflammés.

Je remarque ses mains tremblantes et sais maintenant pourquoi il n’est pas intervenu…la peur simplement…se sentiment qui vous fait reculé dans la vie et surtout qui fait que vous ne finirais pas vieux ici.

Cela me fait sourire légèrement et bizarrement me détend.

J’enlève ma main de ma poche délicatement faisant en sorte de ne pas trop chatouiller la goupille de ma grenade. Prend mon paquet de cigarette dans ma veste en en sort une tige pour la porter à mes lèvres tout en me tournant vers les trois bouffons avec un grand sourire aux levres et leur demande du feu.

Ils se mirent à rire aux éclats, le barman recule d’un pas comme si il avait compris ce qui aller se passer. Je reste droit devant eux et toujours avec se même grand sourire d’idiot repose ma question.

<< Possible d’avoir du feu… ? >>

Le meurtrier de la belle créature qui n’est plus que viande froide à mes pieds s’approche de moi et colle son visage au mien…Il respire fort se con…je sens son haleine chaude et puante caresser mon visage…Une odeur de tabac mélanger à l’alcool …

Je le fixe dans les yeux d’un regard noir, sans même cligné des cils, quand il me répond d’une voix grasse et malade tout en ouvrant son blouson et montrant la crosse de son canon scier.

<< Quel genre de feu tu veux l’ami... ? >>

Je repasse ma main droite discrètement sur ma grenade et l’empoigne la laissant toujours dans ma poche.

L’homme se retourne en riant devant ses amis, fier de sa conerie…La dernière de sa pauvre et misérable pseudo vie sans doute…

Me faisant à présent dos je passe mon bras gauche autour de son cou l’étouffant brusquement, ses amis se jettes sur leurs armes à leurs tours, mais pas assez vite….L’homme a déjà ma grenade dans sa grande gueule et moi l’index dans la goupille.les deux hommes ne savent plus quoi faire à présent  mis a part dirigé leurs pistolet vers mon visage et celui de leur ami.

Je me place dans le dos de celui-ci et me colle à lui en chuchotant à son oreille.

<< Tu as commis deux erreurs l’ami, la première…quand tu me menace, tue moi…et la deuxième …ne tourne jamais le dos à un batard de mon genre surtout quand se batard se nome la Hyène…. >>

D’un geste brusque et violant je le pousse sur ses amis, dégoupille la grenade de mon doigt.

Je cours vers la porte pendant que ses débiles essaye d’attraper la petite bombe que leur pote à cracher, je saute à l’extérieur du bar m’écrasant le visage sur le bitume, place mes main sur ma tête en pur reflexe quand ce qui devait arriver se produit.

Une explosion….pas immense mais suffisante pour soufflé les vitres et les trois hommes sans oublié le pauvre barman qui n’est qu’un dommage collatéral comme tant d’autre….

Je me relève tant bien que mal, essuie ma veste recouverte de débrits encore fumant, me retourne légèrement et ne peut m’empêcher de sourire amusé et sadiquement à la fois en voyant le bar en feu et imaginant les trois bons à rien dedans.

Je regarde autour de moi et subitement se même sourire s’effaça de mon visage.

Une dizaine d’homme me faisait face, ma gorge se noua comprenant ma situation qui aller devenir plus que délicate…

Je ferme les yeux une seconde et soupire tout en marmonnant dans ma barbe.

<< Là t’es dans la merde vieux…. >>

L’un des hommes avance vers moi, il doit me faire de deux tête de plus, a une grosse balafre qui part de l’arcade gauche à sa levre.Son œil est blanc…sans doute crever…

Ses mains son énormes et à chaque doigts de grosses bagues en or dont certaines serti de diamants.

Je le regarde de la tête aux pieds et au moment où je relève la tête pour le regarder dans les yeux il me frappe un coup de poing en pleine tempe, mon cerveau est secoué et je vois noir avant de m’effondré à ses pieds comme une loque…..

 

Quelques heures et quelques coups plus tard je me réveille enfin, essayant d’ouvrir mes yeux gonflés par des hématomes, seul une lumière rouge éclaire la petite pièce où je me trouve…Je secoue légèrement la tête dépité de mettre fait avoir aussi bêtement et réalise que je suis assis et attacher sur une chaise en métal.

Un gout de sang dans ma bouche, je relève le regard légèrement pour essayer de comprendre, analyser la situation du mieux…même si dans ces cas là il n’y a pas grand-chose à faire mais comme on dit l’espoir fait vivre …..Enfin pas sur Next Central à mon avis….

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