Chaque fois ces mêmes points distants  et lourds de sens, qui expriment dans une infinie finesse, des mots qui  expriment tout les sentiments du monde.
Regarde-moi dans les yeux,  fais jaillir la vérité de ton être si bien protegé,
Libere tes  moindres pensées et laisse moi me les approprier, comprendre en ton nom  ce que tu endure.
Allège sur moi le fardeau d'une vie passée, et  profite du peu de répit que je peux t'accorder.
J'ai longtemps  admirer tes yeux pour y déceler chaque parcelle de ton âme, tu ne peux  plus me mentir, jamais.
Alors serre-toi contre moi, oublie ce monde  qui t'as fait souffrir, oublie le et ne pense plus.
Libère toi des  chaines qu'imposent la tristesse à ta vie, laisse les s'envoler à  jamais, et endors toi dans le creux de mes bras.
Tu te réveillera  alors de ce rêve d'une parfaite harmonie, où le monde était devenu  parfait.
Lève ensuite les yeux, je suis toujours la. Je t'aime.
[Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur est interdite]
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Style : Poème | Par John | Voir tous ses textes | Visite : 390
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