Le Vatican fait naître des cancans, prend le camp des intolérants face aux gens aux amours ardent. Quand, faisant sans fondement pour tyran les amants de Sodome et Gomorrhe, il se fait mécréant, le vil serpent au cœur insultant. Se croyant sultan des croyants, il est le plus ardent des méchants, d’orient en occident, propageant son message dément, il provoque des ouragan. Vatican, fout le camp, fait ton testament, délaisse tes jugements.  Au diable les palabres désagréables ! Ton discours n’est pas valable, c’est lamentable et je n’envie pas tes semblables. Vous êtes de faux sages dont l’âge n’as pas fait de vous des mages mais juste des augures de mauvais présages. J’enrage de voir que certain s’engagent pour mettre en cage pensant que c’est ce qu’il y a de sage !

Si c’est la chasse aux sorcières que tu préfères alors prépares-toi pour la guerre. Tu veux nous faire tomber à terre mais tu oublies combien sont mes paires. C’est notre sang sur le sol que tu veux…Bon sang ! Tu crois que les homos sont les maux de tous les fléaux, provoque le chaos. Rien de plus faux ! Il faut arrêter tous ces mots et voir en l’hétéro un héros. Tu nous condamnes aux enfers alors que c’est toi Lucifer. Ton dieu le père est moins amer que la parole de ses émissaires. Tu as peur , veux que mon peuple meure mais mes sœurs sont pleines de bonheur et n’ont que de la rancœur  face aux leurres que tu craches à notre figure. Tu es lâche alors caches-toi et lâche la hache de guerre que tu cache derrière tes paroles basses.

Estuaire de l’amour de ses paires, ton repère est le sanctuaire des tortionnaires au cœur de pierre. C’est ta propre mort que tu génères en faisant des miens les bouc-émissaires. Avec tes aires de clerc, tu te perds dans une ère passé depuis des millénaires. Ciel ! Tu penses partir au paradis alors que le passeur d’âmes t’enverra vers le père maudit. Tu rêves d’un pays aux merveilles en condamnant les enfants de l’arc-en-ciel. Dans le ciel ne brille pas qu’une seule étincelle mais tu veux couper les ailes de tous ceux qui ne sont pas pareil. Prends le pan de ton référent divin, clément et père des innocents.