Je crois qu'il est l'heure.

L'heure de prendre son cœur à son coup.

L'heure de comprendre que ça ne vaut plus le coup.

Mais tu sais je t'ai aimé comme jamais,

d'ailleurs je rêve encore de tes baisers.

A l'heure ou je t'écris je ne peux t'oublier

Ailleurs j'ai fait le tris, il n'y a qu'avec toi que je me sens exister.

Ailleurs la nostalgie me gagne et m'empêche d'avancer

Alors jme dit que je suis mauvais et que je ne trouve plus les mots pour te faire briller

Qu'avec plus de tact tu aurais pu m'aimer.

Mais les souvenirs de Paris me rattrape et je crois que j'aurais du rester.

On ne peut forcer quelqu'un à aimer,

Pourtant je me dis aussi qu'avec la force des mots Choisir n'aurait pas été renoncer.

Et j'ai compris qu'il était plus facile de guérir le mal par les mots.

Cette histoire beaucoup la connaisse et certains l'efface

Mais notre histoire m'a laisser trop de traces pour que je fasse une autre place

Alors j'attend que le temps la tasse en espérant qu'il sera efficace

 

 

 

Suivez-le, donnez-le, écoutez-le
Ne faites jamais rien sans lui
Ne l'offrez pas facilement
Mais mettez le dans tout ce que vous faites
Faites le battre, qu'il soit de marbre, d'or ou de pierre
Prenez-en bien soin, car c'est votre bien le plus précieux