Une bataille perpétuelle où personne n’est gagnant

Où dans chaque attaque chaque parti perd du sang

Où dans chaque parole la colère est reine

Et où larmes et cris comme un seul mal s’entremêlent

Une maison remplie de morceaux brisés

Des morceaux perdus au fil des pleurs versés

Une atmosphère lourde de souvenirs immondes

Des souvenirs qui vous donnent envie de passé vers l’autre monde

Avoir l’impression d’être coincée dans un espace restreint

Un cercle vicieux meurtrier sans fin

Ce gouffre que toute ses guerres m’entraînent vers

Se rapproche dangereusement de moi grâce à mon père

Un jour je franchirai la porte et quitterai cet enfer de maison

Pour ne plus jamais y revenir

À ce moment j’aurai retrouvé ma raison

Et je serai enfin un esprit libre et heureux en devenir

D’ici là j’encaisse les paroles assassines

Ainsi que les insinuations insipides

Faisant de mon mieux pour ne pas passer l’arme à gauche

En essayant que mon malheur jamais ne me fauche