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Djaouida par rachid sadek bouziane

Djaouida

 

 

Douleur, clémence et pardon       

Voici le brouillon des  écrits de mes pleurs émanant d’une peine très profonde, suite à la disparition à jamais de ma très chère sœur Djaouida, exprimées par ces quelques modestes lignes résultant d’une expression sentimentale très développée.

Vendredi le15/01/99 correspondant au 28ramadan, cette date restera gravée dans chaque neurone de ma cervelle et demeurera à jamais ineffaçable dans l’espace et le temps.

 

La perte d’une sœur qui a laissé derrière elle sa signature, exprimée par une tolérance considérable envers tous les êtres qui l’ont connu, et par une clémence sans limite, envers les pauvres et les incapables.

 

Djaouida, je ne suis pas le seul à te pleurer, ce jour du dernier vendredi du ramadan 99,tous les citoyens attafiens, réclament Dieu par sa clémence, et son pardon, pour ton âme, qui restera à jamais, gravée dans les cœurs et les esprits de ceux qui t’aiment, et qui ne cesseront jamais de t’aimer.

 

Djaouida, ni la plume, ni les mots, ni les larmes, ne peuvent décrire, ni exprimer, ce feu qui brûle mon cœur à chaque fois que ton nom me vient à l’esprit.

Je demeure incapable et impuissant d’évaluer cette perte intellectuelle et morale, reconnue non seulement par  toute la famille, mais aussi par tous les profs qui ont exercé avec toi.

 

Djaouida, je t’ai aimé avec mon cœur, et non avec ma langue, Dieu sait, que tu n’es pas uniquement ma sœur, mais aussi ma fille, la douleur que j’ai éprouvée lorsque j’ai appris la triste nouvelle de ta disparition, m’a faillit perdre l’esprit, la pensée, la raison, et me dérouter de ma trajectoire Divine, si ce n’était pas, cette petite quantité de foi Divine, qui a maintenu mon équilibre spirituel et moral sur orbite.

 

Djaouida, tu sais que tu étais la seule avec laquelle, le courant scientifique passe sans difficulté, et tu étais la seule qui puisse lire ma pensée, et mes idées.

Tu étais la seule qui se rend compte, quand je me trompe, et tu étais la seule qui puisse me corriger scientifiquement et moralement dans toute la famille.

 

Djaouida, toi qui me corriges uniquement par ce simple sourire, n’ose jamais élever ta voix ne serait-ce qu’une seule fois en ma presence, voilà aujourd’hui que, tu nous quittes sans nous le dire par ce dernier vendredi du ramadan 99  hélas sœur, je ne puis demeurer sans exprimer ce profond chagrin qui inonde mon volume cardiaque et actionne mes fonctions cérébrales qui m’empêchent d’arrêter d’écrire, d’être indiffèrent devant ce malheur immense, qui vient de frapper toute la famille et les amis.

 

Djaouida, même si mes présents écrits sont modestes et peuvent être très pauvres, pour exprimer ta perte ou décrire ton âme et les valeurs qui la composent, ils sont tout au moins, pleins de tendresse, de reconnaissance, et d’honnêteté.

 

    Djaouida, tu sais que je ne suis ni poète, ni écrivain pour t’offrir un poème ou un texte à ta mémoire, mais je t’offre en contre parti la satisfaction divine, et j’implore Dieu par mes prières et mon jeûne pour qu’il t’accueille avec clémence et pardon.

    J’implore Dieu d’accueillir cette jeune âme avec sa tolérance infinie, et tous ceux qui n’ont jamais désespérer de sa clémence qui recouvre toute la dimension quatre, et au-delà de celle-ci.

    Djaouida, il m’est impossible de décrire ton courage de lutter contre le mal et la douleur sans t’abaisser à quiconque et ayant la tête haute à jamais.

    Je me trouve dans l’incapacité d’évaluer ne serait-ce qu’approximativement ton comportement invariant dans les circonstances et les lieux, et qui demeure déterminant dans la défense des pauvres et des dénués.

     

     Djaouida, est-il possible que je puisse oublier l’expression que tu as évoquer lors de mes analyses à Mustapha, et dont le contenu était que Dieu me guérit même au profit de ton âme pure et propre.

    Est-il possible de mesurer ou définir ce profond amour que tu avais pour ma personnalité et ma façon d’agir.

     Quel est cet océan de malheur qui vient plonger mon âme dans l’obscurité totale ?

     

    Quel est ce deuil indéterminé qui maintient mon esprit très loin du rationnel, et prime le sentiment au dépend du cartésien ?

     

    Quand reverrais-je, hélas, cette lumière avec laquelle, j’ai eu le privilège d’interagir dans son champ mixte, présidé par la connaissance scientifique forte, et soutenu par la sagesse, la morale, et la satisfaction

    Quand reverrais-je, hélas, ces discutions pleines de valeurs scientifiques et religieuses, qui éclairent tous les éspaces obscures par cette lumière émanant d’un déterminisme irréversible de la pensée cérébrale dirigée et corrigée par la nature.

     

    Aujourd’hui, moi qui fut faible comme un enfant, mes affections m’ont vaincu et mon esprit fut perturbé.

    L’homme, qui prétend détenir le pouvoir sur le féminin se sombre dans ses sentiments devant cet événement inattendu.

     

    Ya ALLAH, je m’incline, je me courbe devant ta volonté, qui demeure à l’infini, inaccessible, et impénétrable à quiconque.

     

    Si aujourd’hui, je pleure ma sœur, c’est pour donner un sens et une réalité à cette pensée sentimentale qui fut longtemps combattu par l’équation et le quantifiable.

     

    Si je pleure aujourd’hui Djaouida, c’est tout en ayant la conviction totale que Dieu est plus clément que nous tous,  il est  l’unique défenseur et gardien de cette âme, qui revient tôt ou tard à sa demeure éternelle.

    C’est aujourd’hui que je me rends compte, que ni la philosophie, ni la mathématique, ni la science, ne peuvent dévoiler ou mettre en équation le phénomène de la douleur et de la tristesse, ainsi s’égare la science et quitte le parcourt de l’exploration de la connaissance sentimentale , laissant la place à la foi, qui explique l’immatériel sans dimension.

     

    Ô ! Toi qui m’écoutes, laisses- moi te réciter l’histoire de ma sœur Djaouida, tout en exprimant la douleur du sentiment qu’a provoqué en moi sa disparition éternelle.

     

    Ô ! Toi qui m’écoutes ne m’interrompes pas, et laisses- moi pleurer celle qui m’aime et qui me respecte, laisse-moi pleurer ma sœur, qui ne m’a laissé même pas un atome de méchanceté pour que je ne la pleure pas aujourd’hui.

     

    Ô !Toi qui m’écoutes, laisses-moi voir ma sœur pour la dernière fois, je t’en supplie laisses-moi l’embrasser par le visage et les bras.

     

    Ô ! Toi qui t’occupes de préparer ma sœur pour un aller sans retour, laisses-moi apprécier ces moments douloureux exprimés par cette pluie de larmes du cortège qui accompagne la défunte à sa dernière demeure.

     

    Aujourd’hui loin du laboratoire, loin de la mesure, loin du nombre, ma pensée semble plongée dans ma douleur ténébreuse, et mes fonctions cérébrales se sont égarées devant l’interprétation du phénomène de la disparition éternelle de l’homme.

     

    Ce sentiment qui échappe à tout relationnisme et à toute quantification, se manifeste spectaculairement chez nous tous par ses composantes fondamentales, la tristesse, la douleur, et les larmes, semble vaincre le cartésianisme qui succombe dans l’océan de ce qui demeure jusqu’aujourd’hui observable mais inexplicable.

    Djaouida, l’ingénieur d’état en chimie, hélas ! Tu as emporté avec toi ce tissu cérébral usé par l’équation mathématique et la réaction chimique, chaque neurone témoignera en ta faveur, et ton effort intellectuel ne sera en aucun cas sous estimé, ni délaissé par cette force qui nous gouverne et contrôle nos actes et dires atome par atome.

    Même, la plume qui fut longtemps silencieuse et inerte, s’éveille aujourd’hui en me murmurant :

    Ô ! Toi qui sais glorifier la liberté de penser

    Ô ! Toi qui par excellence, primes la science sur  toute forme de materialisme, offres-moi la liberté de parcourir ces espaces de la feuille par tes larmes qui proviennent de ton âme, pour que chaque mot écrit soit affecté de cette dernière et deviendra à son tour une petite âme qui chante et pleure la disparue.

     

    Ô ! Djaouida, sais-tu que, je n’ai levé ma plume, ni à la disparition de mon très cher père qui fût le fondateur principal de ma façon de penser et ma façon d’agir, ni à la disparition de mon ex-épouse qui m’a appris comment construire et gérer un foyer conjugal.

    Mais, la plume fut éveillé par elle-même à la suite de cette intensité considérable de ce malheur qui vient de t’enlever par ce dernier vendredi du ramadan 99.

    Ô ! Djaouida, la plume renonce à écrire avec l’encre, substance chimique dépourvue de toute essence vivante, incapable d’exprimer avec affection et sentiment la notion de douleur chez l’homme, puisque par axiome l’inerte ne peut decrire, ni ressentir le vivant et demeure à jamais soumis à autrui, elle me réclame souvent mes larmes qui la délivre de cette inertie en lui donnant la liberté et le pouvoir d’exprimer ce comportement de la pleurée, composé par ce spectre de valeurs spirituelles, morales, et scientifiques, qui guident la plume à épouser la trajectoire de la soumission divine, et maintiennent la description du phénomène sentimental hermétique à toute agression littéraire qui l’affecte de l’artificiel.

     

    Ô ! Plume, toi qui partages avec moi, ces moments pénibles, toi qui m’accompagnes dans mon voyage pour l’exploration de la pensée sentimentale, ne t’arrêtes pas d’écrire pour que ma plaie saignante se referme.

     

    Ô ! Plume, toi qui me soulages par l’encre que tu déverses au nom de ma chère bien aimée disparue à jamais.

     

    Ô ! Plume, ne me quittes pas, afin que je ne puisse pas oublier ma chère petite Djaouida.

    Ô !   Que j’ai peur de t’oublier si vite !

    Ô ! Que j’ai peur d’oublier ton visage marqué par ce charmant sourire symbole de l’innocence et de la pudeur !

     

    Ô ! Que j’ai envi de réentendre tes dernières paroles du jeudi 27 ramadan correspond au 14 janvier 99 à 19h 30 environ, juste avant de t’en aller pour l’éternité !

     

    Ô ! Que je regrette de ne pas les avoir enregistré, mais nul ne peut prévoir le destin, ni l’arrêter !

     

    Mes écrits et mes dires sont très différents de ceux d’un poète ou écrivain, puisqu’ils expriment mes sentiments à l’état naturel et juste au moment où ils se manifestent.

    Ma plume s’arrête et évite de décrire ce sentiment artificiel émanant d’un complexe intellectuel ou scientifique qui a pour but uniquement de démontrer à la foule présente cette affection médiocre et mécréante, exprimée par de belles phrases, pleines de mots compliqués, qui impressionnent les présents, mais qui ne décrivent que le virtuel et l’irréel.

     

    Dans mes écrits j’exprime le sentiment par le sentiment afin de conserver l’authenticité sentimentale, et la protéger de toute domination de l’équation ou d’un vocabulaire littéraire gouverné par cette pensée abstraite dénuée de toute âme vivante.

     

    La nature m’a appris que le sentiment obéit uniquement à l’événement qui le provoque, et combat l’ordre, le déterminisme, et l’abstraitisme qui le rendent artificiel.

     

    Si mon texte semble-être dominé par un désordre quelconque ou par une fréquence interminable de certains mots, c’est parce qu’il est régit et dominé par l’expression sentimentale imposée à la plume par l’événement en question.

     

    Je renonce à reconstituer mon texte qui reste à jamais le résultat du produit de l’interaction de mon âme sentimentale avec celle de la défunte disparue à jamais

     

    Je ne suis pas entrain de faire de la poesie, ni de l’expression écrite, je ne cherche pas à être filiciter, ni honorifier par quiconque pour mes écrits, je cherche aujourd’hui simplement à évoquer mon mal et ma douleur à ceux qui m’aiment et m’entendent par mes propres écrits et dires, puisqu’il ne sera pas difficile de vérifier que chacune de mes paroles, imprimée sur ce bout de papier, comportera les trois signatures, celles de la reconnaissance, de la sincérité et de l’honnêteté.

     

    Aujourd’hui, moi qui fut faible comme un vieillard, je me sens noyé dans mes larmes, et dans un picimisme sans frontières.

    Moi qui croyais avoir assez de foi pour résister à ce genre de circonstance, je me trouve épuisé et réclame la clémence infinie du miséricorde tout puissant, pour me délivrer de cette situation désespérée avant que le demont ne prenne le dessus.

    Ô ! Djaouida, ta perte m’a usé et transformer ma façon de voir les choses ici-bas.

    Je continue tous les matins à te pleurer, puisque, tu me fais rappeler ta façon de te préparer pour emprunter le chemin du Lycée Abou-bakr.

    Tous ensemble réuni autour de cette petite table modeste dans la cuisine, avec ce petit feu du matin, l’assemblée fût présidé par ma très chère mère, chacun de nous concentré sur sa tasse de café,

    Ô ! Djaouida, à peine si on ose t’arracher un mot ou deux, toujours préoccuper par ta préparation, tu te retires inaperçue, laissant l’assemblée souffrir de cette absence de valeurs scientifiques et morales.

    Ô ! Je ne savais pas que ta disparition me fera tant de peine et tant de mal, toutes mes activités intellectuelles sont affectées par cette obscurité diffusée par ce malheur impitoyable.

    Mon amour profond que j’ai non seulement pour ta personnalité mais aussi pour ton comportement de voir les choses avec cette objectivité dénuée de toute tendance matérielle ou sentimentale puisque tes jugements ne sont pas affectés par l’ignorance et l’obscurantisme de la soumission de l’esprit à la matière.

     

    Je compte cacher cet amour dans une âme qui le maintient vivant tant que je vis, et j’ai trouvé celle de ma très chère, bien aimée épouse  Hayet était la plus compatible à le faire, que Dieu la préserve, la garde, et la protège de tout malheur.

     

     Ô ! Printemps, moi qui t’accueille chaque année avec tant de joie, je me trouve aujourd’hui soustrait de ma très chère sœur, qui a toujours partagé avec nous, ces moments merveilleux de cette saison où la nature expose à l’homme sa diversité quadridimonsionnelle dominée par la couleur, le chant des oiseaux, la lumière cohérente, et le mouvement.

     

    Ô ! Nature de 1999, je te contemple tout en ayant dans mon esprit l’image vivante de ma sœur, présente à jamais, et je ne puis me priver, ni d’être indiffèrent ou ne pas interagir avec cette beauté extraordinaire que nous offre la puissance divine par l’intermédiaire de la nature.

     

    Ô ! Nature si aujourd’hui je te chante ou je te récite, c’est parce que tu détiens les restes de ma sœur Djaouida encore frais et je me presse d’exprimer ce sentiment qui les conserve en ce moment précis pour qu’ils ne soient affectés par le facteur temps ou toute description deviendra inerte ou artificielle.

     

    Ô ! Djaouida je continue à te voir, à t’entendre, à te parler à travers tes restes qui se regroupent dans ce spectre de valeurs, définissant ta personnalité, ta tendance, et ta détermination dans tes décisions.

     

    Je renonce à croire que tes restes soient uniquement représentés par cette tombe qui renferme ton âme et ton corps.

    L’homme ne se termine pas uniquement par l’extinction de son âme, mais demeure vivant par les valeurs de la sagesse qu’a enseigné à ses élèves et demeure present à travers tous les siècles par ce qu’a écrit et dit.

     

    Aujourd’hui, je cesse de pleurer ton âme pour la chanter.

    Toi qui as honoré toute la famille par ta disparition

    Toi qui as réuni et réconcilié toutes les opinions divergentes.

    Toi qui restes inoubliable par tes effets positifs, qui redessinent et récitent ton âme  pure et innocente à chaque moment voulu.

     

    La science me présente ses condoléances pour ton âme rationnelle et te considère comme un être partisan de sa communauté, méritant d’être honorifié et glorifié par tes recherches en chimie, qui ont fait de toi un martyr de la science.

     

    Ô ! Sœur, je te réclame par ta sagesse, ta pudeur, et ton silence.

    Ô ! Oiseau du printemps 99, chantes-moi l’âme  de celle qui a éveillé en moi cet amour endormi dont la dimension fût indéterminable.

    Ô ! Oiseau du printemps 99,chantes-moi la chanson de celle que j’aime le plus au monde, celle qui défend mes idées, et celle qui a épousé ma méthode d’apprécier la nature avec cet équilibre cérébral viheculé par le vecteur scientifique.

    Ô ! Oiseau du printemps 99, veux-tu remplir le vide qu’a laissé ma sœur Djaouida par ton chant qui active mes neurones afin que je puisse observer ce sourire symbole de cette piété réservée à ceux qui ont été  choisi pour vivre l’au-delà et non l’ici-bas.

     

    Ô ! Oiseau du printemps 99, symbole de cette liberté inaccessible, fais renaître en moi cet espoir de promouvoir le rationnel afin de maintenir la pensée affective dans ses normes, et effaces en moi cette obscurité infinie qui se veux, se justifier par l’absence éternelle de celle que j’aime et que je ne cesserai jamais d’aimer.

     

    Ô ! Oiseau du printemps 99, tu me resteras cette âme vivante qui est venue apaiser ma douleur tout en me chantant celle dont je ne puis m’en passer de son amour exprimé non seulement par l’affection maternelle et paternelle, mais aussi par les valeurs que nous avons ensemble, décidés de défendre et qui sont celles de l’Islam.

     

    Ô ! Douleur transformes-toi en soulagement et fais-moi revivre ces moments précieux pendant lesquels j’ai eu le privilège de m’asseoir au prêt de celle qui m’aime et qui me respecte.

     

    Ô ! Que je regrette de ne pas avoir consacré assez de temps à cette assemblée présidée par la méthode et l’art de savoir discuter !   

    Ô ! Douleur ne brises pas ce cœur qui a su se maitriser, même dans les circonstances les plus pénibles !

     

    Ô ! Douleur n’abîmes pas cet appareil  sentimental qui n’a jamais cesser  d’explorer, et de comprendre la nature par la dépense de cette énergie sentimentale, qui échappe à l’équation, et remet en cause le concept du quantifiable.

     

    Ô ! Douleur, éjectes-toi de mon cœur et laisse-moi contempler cette quatrième dimension par la beauté de son équation qui maintient les trois équilibres, gravitationnel, spirituel, et cérébral, chacun sur son orbite, mais appartenant tous à la même référence absolue, indépendante du chiffre quatre et émanant du néant. 

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    Coup de cœur : 8 / Technique : 8

    Commentaires :

    pseudo : djamel.S.B.

    je suis trés touché a ta place, moi aussi c'était ma fragine et ma fille que Dieu le tout puissant l'acceuille dans son vaste paradis (AMINE)

    pseudo : djamel.S.B.

    je suis trés touché a ta place, moi aussi c'était ma fragine et ma fille que Dieu le tout puissant l'acceuille dans son vaste paradis (AMINE)

    pseudo : sarah

    c'est vrai que elle est morte mai elle tjrs grave dans mon coeur.c dur

    pseudo :

    (ni la plume, ni les mots, ni les larmes, ne peuvent décrire, ni exprimer, ce feu qui brûle mon cœur à chaque fois que ton nom me vient à l’esprit),ah oui papa ta raison.