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fais-moi peur 3: fantôme,.. vous avez dit fantôme. par samuelrivabella

fais-moi peur 3: fantôme,.. vous avez dit fantôme.

-          Sil te plait, fais-moi peur !!!

« Vous voulez trembler, vous blottir dans votre fauteuil, regarder par-dessus votre épaule, et voyez s'il n'y a pas quelqu'un derrière vous ? »

 Un beau dimanche de mars, Malone pensa à son défunt grand-père qui fut décédé 6 ans plus tôt. Dans ces moments de tristesse il lui arrivait très souvent de lui parler. Et comme coutume en Afrique lors des examens, il prie ces ancêtres pour lui donner la connaissance, en espérant d'une façon (et d'une autre !) que sont grand-père lui réponde ou lui fasse un signe.

 Cette même nuit, couché dans sont lit, il lui parle à voix haute, il lui raconte sa journée, ses hauts et ses bas, surtout les bas, ses tristesses... ces chagrins du mercredi après midi. Pourquoi ? Car cette solitude le pousse encore plus à penser à son défunt grand père, et à se confier en lui.

 Après 30 minutes, il senti le sommeil le gagner. il avait les yeux fermé depuis 4 minutes que le chien, debout sur le lit, ce mis à japper en direction de la porte de la garde-robe. Eveillée de peur, il lui lança un oreiller et lui ordonna de ce taire, mais trop tard, le mal était fait.

 Les murs craquaient, le vent sifflait entre les vitres de la fenêtre...et le chien grondait contre cette saleté de porte de garde-robe. Son cœur se mit à battre dans la poitrine, tellement fort qu'il lui cognait dans les oreilles.  

 Malone sortit son nez de dessous les couvertures et regarda vers la porte. Il ne voyait pas grand chose dans le noir, mais le chien, raide comme un piquet, fixait cette satanée garde-robe. Malgré les avertissements à son cabot, grognant jappant, il alluma la lumière. Aussitôt, le chien se recoucha, fatigué et le poil hérissé.

La fenêtre s’est ouverte par la force du vent, et les branches d’arbre n’a de cesse à frôlés les murs. Le vent siffle dans la chambre et le froid rend la pièce glaciale, voyant la bué sortir de sa bouche et de son chien.

-          Tu vois stupide clebs, se n’est que le vent et les branches d’arbre qui frôlent le mur  

 Malone fit une prière et dit bonsoir à son défunt grand-père, lui souhaitant une bonne nuit, ajoutant que tout allait bien et que se stupide chien aboyait pour rien. Il Referma la lumière, et il se rendormit.

Le lendemain à l’école, c’était la photo, une photo de classe pour immortalisé cette année d’étude. Malone se fit beau, et alla à l’école. Malone réussi son année avec un B+, le A est impossible à avoir, car la perfection n’est nullement acquise pour les hommes.

Malone reçut lui aussi une photo de classe de la part de son professeur, mais se fit réprimander, rétorquant que les inconnues ne son pas admise sur les photos. Malone ne comprit pas tout de suite, puis en regardant la photo, il comprit…

Il comprit, car… sur la photo il fit son grand-père à ces côté, tenant dans sa main un petite feuille en papier ou il était écrit quelque chose de peux lisible. Malone prit la loupe et lit : - désoler pour l’autre soir, je ne voulais pas te réveillé.

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Style : Nouvelle | Par samuelrivabella | Voir tous ses textes | Visite : 359

Coup de cœur : 31 / Technique : 26

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