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2010 (le fléau) par samuelrivabella

2010 (le fléau)

2010 (le fléau).

« Et j’ai vu, et regardez ! Un cheval pâle ; et celui qui était assis dessus avait pour nom la Mort. Et l’Hadès le suivait de près. Et on leur a donné pouvoir sur le quart de la terre, pour tuer par une longue épée, et par la disette, et par la plaie meurtrière, et par les bêtes sauvages de la terre.»

2009 une hécatombe. Tremblement de terre, meurtres, violent, ouragans et j’en passe, et pourtant… et pourtant cette année est encore pire, nous sommes le 15 juillet 2010 et, en seulement 15 jours et 7 mois le système religieux est tombé, le système commercial est tombé, et pour finir le système politique.

Tous à commencé lorsque le président des Etats-Unis à découverts que la religion dépouille les hommes de leurs argents, devenant ainsi très très riche, et les hommes très très pauvre, subissant déjà la crise économique. Il se dit qu’avec l’argent de toute la religion il pourrait facilement et sans hésitation redonner paix et la sécurité aux hommes tant sur le plan financier et que sur le plan commercial. S’en suivi une guerre entre la religion et la puissance anglo-américaine et bientôt avec toute la puissance européenne.des millions et des millions de mort, tous cela pour l’argent, la soif de pouvoir, ou pour excuse, redonner la paix aux hommes. La religion fût balayé, l’économie fut restaurer, la paix entre parenthèse rendu, mais à quel prix, car il comprit comme la religion était importante sur le plan financier, quel rapportait énormément de l’argent à l’état. Ainsi le système commercial tomba, les gens dépouillèrent les magasins, se dépouillèrent entre eux, rendant même les villes en sang et en feux.les disettes s’accumulèrent ainsi que les meurtres à une vitesse v v prime et le monde tomba dans un chaos, rendant les hommes fous.

Les hommes finir même par se manger entre eux, comme des bêtes sauvages. Plus aucun système politique, ils abandonnèrent les hommes à leurs détriments. Ce n’est pas l’homme d’état qui paye le prix, mais le peuple, et le prix est lourd à porté.

La survie est difficile, mais vivre dans ce monde encore pire.

La bible annonçait ce jour sous le nom d’Armageddon, la fin d’un monde perfide et d’hommes corrompus ou un seul royaume régnerait sur la terre pour des temps indéfinis, le royaume de Dieu dirigé par jésus christ.

Mais ou est ce royaume, les hommes meurent, même la terre meurt. Ou est cette délivrance et pourquoi nous faire subir tant de malheur ?

La peste fini par rongé le quart de la population mondial, un quart pour la disette, un autre pour les plaies meurtrières, et l’autre quart par la folie.

Des hommes arrivaient encore à croire en un Dieu ; j’essayai de les persuadés que leur Dieu les avaient abandonnés, mais rien à faire ils continuaient à prier. Je me mis même à les maudirent, à les insulter, et pour finir à pleurer à sanglot.

La fin du monde était proche et une bonde de taré priait Dieu. Ils disaient que cela faisait parti du dessein du Divin ! DU DESSEIN DE DIEU ! OU EST VOTRE DIEU ! IL NOUS A ABANDONNES, IL A ABANDONNES CES PROPRES CREATURES A LA MORT !

Soudain le ciel s’ouvrit et un cri de tonnerre et de cor se vit, une puissance surnaturel disant : - je suis Dieu, celui qui croit en moi et en mon fils jésus christ ne sera pas détruit mais aura la vie éternelle.

Je me mis à genoux et implora Dieu de me sauvé, mais des hommes allèrent en disant : - se n’est pas Dieu c’est le diable qui nous trombe, montons sur les tours et dévions le.

Du feu sorti du ciel et embrasa tous les hommes méchants. Les cadavres n’avaient pas encore le temps de touché le sol que les vautours se chargèrent de faire disparaître leurs corps. Aucun cadavres ne fût enterré, mais mangés par les rapaces.

Et Dieu dit encore : - vous avez été choisi pour une sainte nation, remplissez la terre, et tenez dans la soumission toutes bêtes pullulant sur la terre, dans le ciel et sous les eaux, faites de cette terre un paradis. 

Et nous fessâmes de cette terre un paradis, tenant dans la soumission toutes bêtes pullulant sur la terre, dans le ciel et sous les eaux

-       Père, croyez vous vraiment que Dieu va nous sortir de ce cauchemar ?

-       S’il y en a un je l’espère… je l’espère. Du moins moi je ne t’abandonnerai jamais, je serai toujours là pour toi. maintenant Dort mon petit, dort… je t’aime   

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Style : Nouvelle | Par samuelrivabella | Voir tous ses textes | Visite : 620

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