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Triste et Complices par dorianmiles

Triste et Complices

TRISTE ET COMPLICES

 

Préface : Milliards, c’est le nombres de sentiments qui t’entourent a l’heure ou tu lis ces mots sur le papier, je dis Milliards car les mots ne peuvent compter, les humains on choisit comme terme « infinis » je ne l’emploie pas pour désigner les sentiments car les mots les désignent en quantité limités mais ils ne pourraient désigner la force d’un.
« Sentiment «  mot qui fait peur ou qui subjugue toujours est il que ce terme est stupide. Comment expliquer avec un seul mot, quelque chose qui nous transforme nous influe et fait influer ou évoluer le monde autour de nous, comment démontrer que la haine d’un homme peut en détruire un autre, qu’un cœur aimant crève de douleur a cause d’un amour impossible. Comment expliquer qu’un malade sur sont lit passe de vie a trépas les docteurs démontrerons par A+B que ce malade est mort pour diverse raisons mais n’y en a-t-il pas une qui est a la base de tout cela, cet homme avait peut être sont lien qui le retenait a la vie  qui s’est brisée. Comment expliquer que chaque sensations n’est que fruits de situations la conscience entrerait elle pas en ligne de compte, et le cœur lui a aussi sont mots à dire.

Comment un mot peut il juger un sentiment, ce serait appeler toute les formules de math en un seul terme.

« J’ai ressentit la solitude lorsque un proche est décédé ou que mon copain m’a quitté »

Celui qui dit ça se trompe il ne l’a pas ressentit il l’a vécut et même ce mot ne seraient pas a même de dire ce que le corps a enduré

Toutes ces larmes qui ont creusé a jamais des sillons dans ce visage. Tout ce travail de l’organisme qui lutte bête et ongle pour demeurer ce qu’il était naguère et accepter cette nouvelle. Ce tiraillement de vie qui nous pousse a continué même si le pire est arrivé.

Voudrait on « déguisé » ce que on a vécut et ressentit derrière un seul mot ?

Beaucoup trop de choses sont occultés derrière ce terme « sentiment » si un mot  ne peut expliquer sont sens peut être ce récit, mon récit, qui pourrait être le tient va-t-il l’expliquer ou du moins et révéler la lumière sur ce que ce mot cache.

 

 

Prologue : Mes yeux flétris par le passé et par la vieillesse se fatigue bien vite sur le papier. Il est tard mais je ne peux m’empêcher, à l’ombre d’une lampe étalé ma vie sur du papier, ce sont les seuls moments rares ou je me sens bien, le silence est dérangé par le bruit de ma respiration sifflante et par le bruissement des pages qui s’amoncellent a la vitesse de mes souvenirs ressurgissant du passés. Certains me mettent la larme a l’œil et je ne peux m’empêcher d’avoir une pointe de nostalgie en repensant à toutes les choses qui m’ont amenés la. Il était écrits quelque part que je verserais des larmes de sangs, il était écrits quelque part que ma vie allait prendre un tournant, il était écrit quelque part que je n’étais pas comme les autres. Je n’en suis même pas au quart de mon « œuvre » que le temps et mon corps me rappellent leurs propres limites ça en sera assez pour ce soir j’arrive à apercevoir mon existence dans un sablier et chaque graines de vie qui tombent scellant mon sort et me rapprochant d’un sort funeste. Mes rêves sont énigmes j’a l’impression de revenir a l’adolescence ou je vois ma vie en flash et je revis certains moment clé de mon existence Cela ne présage rien de bon, je n’ai vécut que deux fois ce type d’expérience, celle ou le corps et la mémoire s’entretiennent seule a seule avec le passé et la cela n’était jamais de très bon augure. Par un fortuit hasard mes souvenirs cette nuit la m’ont ramenés a ce jour la, ce jour ou j’ai sut que je n’étais pas comme les autres. Un de ces sales jours où j’avais 6 ans.

 

CHAPITRE 1 : Obscure Animosité

 

Je me réveillais en sueur de ce cauchemar et m’extirpais de mon lit, la voix criarde et nasillarde de ma Maman m’informa que le petit déjeuner était servit et que j’avais intérêt à l’avaler illico, presto, textos sans quoi je risquais d’être en retard. C’est donc sans mal que je m’habillais jouissant déjà d’une grande autonomie pour mon jeun âge. Maman me questionna et chahuta verbalement avec moi durant le déjeuner. Elle est chouette Maman car elle essaye toujours de remplacer Papa, elle me taquine et elle rigole avec moi j’ai de la chance d’avoir une maman comme celle la. Pourtant je sens bien que derrière ce masque se cache une grande tristesse, une fois on jouait au château fort avec elle et de but en blanc je lui ais demandé  ou étais Papa, comme si la question était naturelle. En réponse elle a posé les figurines et a tout simplement regardé par la fenêtre et croyez le ou non mais derrière ce silence j’ai pu entendre un cri, sont cris pourtant ses lèvres ne bougeait pas puis des larmes sillonnèrent ses petites joues et elle est partit, au fond de moi-même je ressentis une petite boule dans mon petit ventre qui me donnait envie de vomir et me soulevait l’estomac.
Comment expliquer le chagrin d’une maman qui a perdu d’une façons ou d’une autre un mari ,tout les parents redoutent un jour que leurs enfant posent cette questions auxquels ils ne sauront pas répondre de peur de ne pas être objectif, et se blottir dans le silence pour éveiller la culpabilité de leurs enfant, de les avoir rendu triste, mais ça j’étais trop petit pour le comprendre.

Maman me mit mon blouson jaune et nous partîmes a l’école, a la porte de la dite école, je retrouvais Candy une de mes camarade de classe qui avançait d’une démarche claudiquant, elle avait un handicap de naissance qui avait réduit la mobilité de ses jambes.

« Pas de bisoubisou derrière les buibuissons avec Candy heeeiiiinnn me dit Maman d’un air chantonnant et en m’étreignant. Je me dégageais de sa constriction envahissante d’un air boudeur.

-Tu es bien ronchouilloux toi ce matin

-M’man tu m’énerve la, en plus je déteste quand tu parle en « ouilloux » ou en « us »

-Oooohhhh mais c’est pour mieux te parler mon canard laqué d’amour

-Aaaahhh NON !!!!!!Tu ne va pas me parler comme ça tu me mets la honte devant tout les copains.

Maman me fit un signe de la main avant d’aller travailler.je me rangeais pour aller en classe en évitant soigneusement Candy.

Aujourd’hui nous allons passer l’interrogation de poésie que vous aviez à apprendre pour aujourd’hui dit haut et fort notre maîtresse, ces paroles éveillèrent conversations diverses et variés dans la classe portant sur les billes, les cartes et les diverses choses qui peuvent occuper l’esprit d’un enfant. Je regardais par la fenêtre en imaginant, des fois j’aime bien me retirer dans mon imaginations ça me permet de respirer car je me sens si étroit dans mon petit corps alors que mon esprit dans le monde de l’imaginaire qui semble si grand et si infinis lui se sent libre.
-DANNY !!! Cesse de rêvasser et vient au tableau réciter la poésie

La maîtresse avait parlé enfin plutôt crié me tirant brusquement de ma rêverie, je me levais donc et allais au tableau pour réciter cette poésie.

C’est un trou de verdure ou crie une rivière

Acrochant follement aux herbes des ayons

Argent ou le soleil de la montagne fier lui

C’est un petit val qui mousse de raillons.

 

-Mhmhmhhmmhm si l’on excepte les fautes de français en pagaille, tu a un gros travaille de mémoire à faire c’était bidon comme prestation.5/20et encore je suis généreuse.

Les enseignant ont le pouvoir de juger et d’attribuer des adjectifs et des chiffres sur nos moindres faits et gestes certains essayent de noter en toute objectivité alors que d’autre se disent que l’élève ne fait rien pour s’en sortir et que une fois de plus il n’a pas fait le nécessaire pour arriver a ce que demandais le professeur, alors que peut être pour une fois cet élève avais bossé sont devoir, cela lui laisse alors un amer gout de frustrations car ses effort n’ont pas payés et lui donne a jamais l’envie de ne rien faire ,pourquoi travailler quand les effort ne payent pas hein ? dite moi. Mais ça j’étais trop petit pour le comprendre

La sonnerie de la récréation stoppa net toute envie de travailler, et les élèves se ruèrent hors de la classe, je sortis calmement dans la cour .L’inconcevable allait se passer sous mes yeux mais je n’étais pas assez voyant pour le savoir.

Candy était en trains de jouer aux billes avec ses copines quand 3 grands garçons du CM2 arrivèrent vers elle

-Regardez les mecs c’est Candy jambe de bois, alors on joue aux bille jambe de bois ?

Candy baissa la tête et ne dit rien comment répondre lorsqu’on a un défaut physique que la vie nous a donné, quelque chose que l’on n’a pas voulut mais qu’on a et qui nous coupe a jamais de la normalité, alors on survit dans un monde qui a du mal a nous accepter, remplit de gens qui nous rappelle notre conditions ou qui on pitié de nous ,certains n’accepte pas leurs handicap et choisissent un funeste chemin mais Candy elle c’était une battante elle ne disait rien quand on parlait de ses jambes, peut être était elle trop petite pour tout comprendre.

-Hé toi  ça t’amuse d’insulter les gens ?, laisse la tranquille

-Regardez les mecs y’a Danny qui vient défendre jambes de bois

Les copains du garçon s’esclaffèrent

-Ca vous amuse d’embêter ceux qui ne sont pas comme vous, juste pour vous sentir plus fort

-Ferme ta gueule Danny ou on va t’exploser la gueule

Les coups ne m’ont jamais fait peur surtout prononcés par un mono-neuronal de la vie qui utilise de piètre insulte pour s’exprimer. Mais ça j’étais trop petit pour m’en apercevoir

-Vous allez me faire quoi me taper dessus ?dis-je d’un air riant

-Les mecs on va lui passer l’envie de rire à ce merdeux

Ni une ni deux lui et ses copains me sautèrent dessus l’un me mit une balayette et me fit tomber sur le sol tandis que les autres me collèrent des coups de pieds en quantités généreuse.

-T’as vu jambes de bois c’est a ça que ta vie va ressembler, des coups de lattes dans la gueule

C’en était trop je devins insensible a leurs coups, je me relevais et toisa le garçon, il me regarda d’un œil goguenard et me décocha un coup de poing a l’arcade qui me propulsa par terre.

-Prends ça sale con !!!!!

A la vue de mon sang l’hébétude fit place à la colère, pour une raisons que j’ignore, car une fois qui plus est j’étais encore trop petit pour le comprendre. Ma vue se brouilla et j’entendis plus rien a part un bourdonnement au fond de moi, aussi peu que je m’en souvienne car je fus totalement inconscient de mes actes a ce moment la, j’attrapais le garçon et d’une mais le fit décoller du sol, et le jetait par-dessus ma tête, sont vol s’acheva par un craquement sinistre mais néanmoins bruyant d’une tête sur un mur. Tout le monde dans la cour de récréations ne dit plus rien tout les visages était braqués sur le garçon devenu inconscient, du sang s’égouttaient de sa bouche et commençait a faire une flaque plutôt inquiétante. A partir de ce moment la je ne me souvint plus de la maîtresse qui m’emmena dans le bureaux de la directrice, le regard pâle que me jeta Candy, l’explications silencieuse de mon geste a la directrice, le coup de fil a maman qui l’obligea a quitter sont travail et venir me chercher a l’école, le sermon de maman ,la compresse a l’alcool appliqués sur mon arcade ouverte. Mon esprit reprit conscience qu’au moment fatidique d’une punition moment, oh plus qu’horrible pour un enfant de six ans lorsque ses paroles froides comme la glace résonnèrent dans mes oreilles.

-Monte dans ta chambre je ne veux plus te voir. Tu es privé de sortie jusqu'à nouvel ordre.

Je montais d’un pas hésitant dans ma chambre, je me sentais faible et je me laissais tomber sur le lit pour tomber dans un sommeil d’obscure animosité.

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Coup de cœur : 8 / Technique : 8

Commentaires :

pseudo : iloa

Je crois que ta tête est bien compliquée. Je t'ai lu plusieurs fois. D'abord ta préface...il faut s'accrocher...Je comprend ce que tu exprimes mais cela ne me semble pas cohérent. Tu mélanges deux mondes qui ne sont pas compatibles en un seul : L'abstrait et le concret. Quand à ton début d'histoire, c'est la même choses. Tu parles comme l'enfant et comme l'adulte deux phrases après... Compliqué...Il va falloir mettre de l'ordre dans ta tête.