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 Sur la terre comme sur les plages Des moments simultanément passés Des souvenirs communément partagés N’ont été pour moi que prestiges 
 Faut-il, muse, que je te dise Que t’es l’étoile illuminant mon cœur Que t’es la silhouette déesse du bonheur Pour amplifier ma cour couardise 
 Des jours jovialement achevés Des nuits affectueusement échues Des malheurs et des bonheurs connus Tout n’est que pure réalité et vérité 
 Dans la douceur, je t’ai connue Que de fierté j’admire l’héritage De l’amour qui m’a pris en otage Et des « on dit » que j’ai vaincu 
 Que d’amour j’ai dans le cœur A t’aimer tous les jours à la folie A t’admirer plus qu’une simple amie Et à consommer jovialement ta douceur 
 Tout près de toi, je suis aveugle Des amourettes aventurières décidées A pérenniser l’irresponsabilité Et à sauvegarder le trouble 
 Je t’aime et je te le dis encore Je t’aime et je le cris très fort Je t’aime et tu m’es comme de l’or Je t’aime et c’est jusqu’à la mort 
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Style : Poème | Par klenche | Voir tous ses textes | Visite : 552
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