Versent les cascades 
Dans les étangs malades 
Les soleils mourant, 
Les Amours de mille ans. 
Dans la nuit immobile 
Les étoiles défilent ; 
Vienne la lune, sonnent les heures, 
Les cygnes se meurent. 
Au matin se consument 
En aigreurs de brume 
Les nocturnes ivresses, 
Les dernières caresses. 
De perles de lunes 
En aube rancune 
Ne restent à présent 
Que des frissons d’enfants. 
Que rêvent mortels ? 
Un petit coin de ciel, 
Un coin débarras, 
La planète des rats ! 
Je te demande pardon 
De ne pas avoir ce don 
Qui permet à tes mots 
De guérir tous les maux.
gdL
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Style : Poème | Par lagomys | Voir tous ses textes | Visite : 376
Coup de cœur : 9 / Technique : 6
Commentaires :
pseudo : Iloa
Ah ? Heu ...i,o,u,y ! Pffffffffffffffffff.........Bon, je vais essayer avec les consonnes...Et d'une couverture finement brodée, de ses hivers elle fut protégée.
pseudo : Karoloth
les mots et les maux sont les rimes immortelles. CDC.
pseudo : lagomys
(à Karoloth)ce ne sont que des m'Ô ...(à Iloa)qu'on ne comprend pas toujours... Merci à vous.
pseudo : iloa
On ne me comprend pas toujours ? MÔA ? Ben mince alors...