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merci à vous... par anonyme

merci à vous...

Il est presque 2h du matin.... suis devant l'ordi...
ça fait une heure ke suis réveillée... mon mari est parti...
il vient seulement de m'envoyer un sms "au casino"...

j'y crois pas... quelle histoire de fou!

me sens pas bien dans cette vie...
voilà... c'est ça: toujours ses délires!
moi, suis toujours à la maison, avec les enfants... sans compter mon travail de télévendeuse le matin!
...
DUR DUR !!!

quelle histoire de fou!

alors, je vous écris...
une pensée à cette heure pour la personne qui m'a fait connaître ce site, ainsi qu'à marty... et vous bien sûr!

quelle histoire de fou!

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Style : Pensée | Par anonyme | Voir tous ses textes | Visite : 670

Coup de cœur : 10 / Technique : 7

Commentaires :

pseudo : monalisa

Merci à toi anonyme de partager des instants de ta vie avec nous. Bonne continuation dans cet univers magique des mots d'amitiés.

pseudo : nage

Dur dur la vie de couple bon courrage à toi. la vie vaux le coup amicalement

pseudo : bleu indigo

Bon courage anonyme, le partage des maux fait qu'ils sont bien moins lourds à porter :-)

pseudo : lily-rose.song

courage et n'hésite pas à partager d'autre maux ou mots avec nous

pseudo : Karoloth

Que dire... Lis ça: "Oliphant en mer".

pseudo : marty alain

accroche toi tes enfants on besoin de toi

pseudo : marty alain

ecris moi si tu a besoin de parler , je serais toujous la pour t'ecouter

pseudo : Ombres et lumières, une vie

Puisque Karoloth évoque un poème que j'imagine être le mien, je veux t'éviter de le chercher et te le livre ci après OLIPHANT EN MER Quand enfle au petit jour la houle des défaites/ Il faut ne céder rien, bien droit lever la tête,/ D'un front impertinent affronter la tempête,/ Oser l'orgueil et rir’ devant la conjoncture,/ Narguer le va-et-vient du vent dans les mâtures,/ Dire à la vie oh hé tu n'es qu'une aventure/ Qui n'aura point ma peau avant dix mille années./ Crois-tu donc que tu peux me mener par le nez/ Comme un de la flibuste au gibet condamné ?/ Je saurai tenir bon jusqu'à ma fin certaine,/ Sans me désenchanter ou verser dans la haine,/ Que le marin mutin voue à son capitaine./ Planent les albatros piaillent les goélands/ Il faut tenir son cap ainsi que fit Roland/ Mais point ne consentir à sonner l'oliphant/ A présent, je t'en propose un autre (crois-moi, j'ai eu ma part de coups en cette vie) qui s'appelle "Ris" RIS Ris, quand t'es en vacance, hé ris./ Ris, quand pleine est ta panse, ah ris./ Ris, du temps qui te tance, ho ris./// Ris, de n'avoir rien dit, hé ris./ Ris, d'en avoir trop dit, ah ris./ Ris, même les lundis, ho ris./// Ris, en mangeant du veau, hé ris./ Ris, au bon vin nouveau, ah ris./ Ris, si blets sont tes os, ho ris./// Ris, au vol de la pie, hé ris./ Ris, au vol du tapis, ah ris./ Ris, du cours de ta vie, ho ris./// Ris, pour mieux fair' la fête, hé ris./ Ris, redresse la tête, ah ris./ Ris, les soirs de défaites, ho ris./// Ris, en rob' d'organdi, hé ris./ Ris, si t'es un dandy, ah ris./ Ris, sous tes bigoudis, ho ris./// Ris, en chapelet dense, hé ris./ Ris, et puis entre en transe, ah ris./ Ris, quand tu sens le rance, ho ris./// Ris, quand on te caresse, hé ris./ Ris, t'as les sens en liesse, ah ris./ Ris, si dite est la messe, ho ris./// Ris, quand on te défie, hé ris./ Ris, tu n'es point maudit, ah ris./ Ris, malgré l'Infini, ho ris./// Ris, en gros, au détail, mais ris./ Ris, avec ta marmaille, ah ris./ Ris, planté dans la paille, ho ris./// Ris.