La petite elle voit défiler la vie,

elle apprends tout petit a petit.

La petite n'as aucune crainte

a par celle d'être plus ou moins elle.

La petite elle voit passer sa vie,

elle participe,

elle se retenir,

elle savoure chaque instant,

et ne crains aucun moment.

Ce soir, le ciel est noir,

la froideur se fait dure,

elle se replis.

Au fond de se couloir,

elle restera éveiller,

revêtis de ce vieux sweat,

aucun désire ne se fait ressentir,

seule cette triste impression

d'être alors a l'abandon.

La petite c'est juste ce vague surnom

qui fait de moi l'être aussi imparfait soit-il

d'une vie plus ou moins guider par un cœur enchanté.

Que suis-je donc en train de vous raconter.

Une ironie quelques peu déformé

ou une triste réalité.

Qu'importe le ressentiment,

qu'importe les idées,

seule l'existence même sera nous mené,

a ce désir alors bien surmonté.

Le temps passe bien plus vite que je ne l'aurais imaginer,

le temps passe,

le monde change

et moi aussi.